genevieve darrieussecq etait a l ecoute des encadrants et des jeunes recrues des retours d experience necessaires pour la structuration du service national universel photo rl 1524237105

Visite ministérielle vendredi dernier en fin de matinée à Dieuze. Entre Montigny les Metz le matin pour découvrir le 1er régiment du service militaire volontaire  et Sarreguemines et ses anciens combattants l'après-midi, la secrétaire d'état auprès de la Ministre des Armées, Geneviève Darrieussecq a fait un court passage dans le Saulnois.

Elle s'est arrêtée en effet au CEFIM (Centre de Formation Initiale des Militaires du Rang) de Dieuze afin de rendre visite aux futurs soldats du pays qui passent trois mois dans le Saulnois pour parfaire leur formation. 

Ces pioupious envoyés à Dieuze par leur régiment s'aguerrissent dans notre région, crapahutent dans les forêts des alentours. On les aperçoit souvent en colonne sur les routes du Saulnois avant qu'ils ne retournent sur le lieu de leur affectation définitive. Ainsi 1200 jeunes soldats passent par Dieuze chaque année.

Ils ont donc eu vendredi les honneurs du gouvernement qui montre ici l'intérêt qu'il porte au site militaire qui abritait autrefois le 13 è RDP. 

Reportage photos de la visite de la secrétaire d'état sur le site du RL en cliquant ici

 

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Après les deux pages de pub dans le RL, Dieuze est de nouveau sous les projecteurs avec cette page dans l'hebdo La France agricole.

Un reportage qui évoque l'histoire de la cité du sel et un titre qui nous plaît bien !

A lire en cliquant sur la vignette ci-dessous :

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 Le texte intégral de l'article : 

Quand Dieuze met son Grain de sel

Les Salines royales de Dieuze font l’objet d’un vaste programme de réhabilitation. La grande halle, qui abrite les magasins de stockage, s’offre une nouvelle vie.
Site témoin de l’histoire du sel , les Salines royales de Dieuze, en Moselle, ont employé jusqu’à sept cents personnes au plus fort de l’activité, dans les années 1960. Mais elles ont bien failli disparaître en 1993.

Le dernier propriétaire, le groupe Total, y fabriquait des produits chimiques, essentiellement du sulfate de baryum, et souhaitait raser l’ensemble. La ville de Dieuze a racheté le site en 1994 pour un franc symbolique. Des travaux permettront de reconstituer la chaîne de fabrication, de l’extraction au stockage, en passant par le chauffage et la constitution des cristaux de sel.

« L’objectif est de proposer un panorama complet de la production, telle qu’elle était au XIXe siècle, explique Bernard François, premier adjoint au maire. Les premières traces d’extraction du sel remontent très exactement à 803. La saumure locale a la particularité d’être très riche : la teneur en chlorure de sodium y est de 110 g par litre, alors qu’en mer Méditerranée elle est de 25 à 30 g par litre. »

Dieuze n’est pas la seule commune des environs qui a bénéficié de cette richesse naturelle. Les couches de sel étaient abondantes dans toute la région, comme en témoigne la toponymie : pays du Saulnois, Château-Salins, Marsal (les « mares salées »), la rivière La Seille…

La grande halle, appelée la Délivrance, a été complètement refaite il y a deux ans. Elle avait été baptisée ainsi, car étaient « délivrés » ici les droits de transport du sel. Une belle salle des fêtes de 500 m² y a été aménagée. La salle de spectacle attenante peut recevoir cent quarante personnes. La partie des anciens magasins à sel est en cours de rénovation.

Elle abritera des espaces muséographiques, qui retraceront toute l’histoire de l’exploitation du produit au cours des siècles. Au plus fort de l’activité, la halle comptait treize magasins. On y accédait par de belles portes en arrondi.

Le bâtiment qui abrite le puits salé est encore en travaux. Quatre chevaux, changés toutes les deux heures, étaient attelés à un manège qui actionnait une énorme roue horizontale de 2,5 tonnes et de 8,5 mètres de diamètre. Celle-ci enclenchait ensuite le mécanisme permettant d’aller chercher l’eau dans le puits, à l’aide de godets répartis le long d’une chaîne. Le manège et la roue ont été reconstruits à l’identique par des artisans, avec le concours des Compagnons du devoir, grâce à des documents d’époque.

Dominique Perrone

 

Pour attirer des entreprises, pour attirer les habitants, pour séduire au delà de nos contrées, la ville de Dieuze a son plan com. La Cité des académiciens qui perd régulièrement des habitants et qui est passée récemment sous la barre symbolique des 3500 administrés (3244 selon l'Insee en 2014) tente de retrouver son lustre d'antan.

Elle vient en effet de se payer deux pages de publicité dans l'édition de ce dimanche 15 avril 2018 du Républicain Lorrain. 

Dans ce publi-reportage, la municipalité met en avant ses lycées, son offre de santé, ses zones industrielles, la délivrance et le puits salé restauré, le pôle innovation et les nombreux projets qu'elle compte bien voir se réaliser dans les années à venir. 

A lire en cliquant sur la vignette ci-dessous : 

dieuzecom

 

Le feuilleton de la création de la ZAC de la Sablonnière se poursuit avec l'ouverture de l'enquête publique concernant la nouvelle tranche du projet mené par la Communauté de communes du Saulnois et la municipalité dieuzoise. 

La loi impose aux porteurs de projets ayant un impact sur l'environnement d'informer la population et de la laisser formuler toutes les remarques qu'elle souhaite. 

Ainsi, du 9 avril au 11 mai les citoyens pourront consulter les documents concernant cette zone au siège de l'interco à Château-Salins ainsi qu'en mairie de Dieuze. 

Ils pourront aussi rencontrer le commissaire enquêteur, Michel Drui, officier de police en retraite, en mairie de Dieuze, 

lundi 9 avril 2018 de 9h00 à 11 h00l

mardi17avril 2018 de 14h00 à16h00

samedi 28avril 2018 de 9h00 à 11 h00

vendredi11mai 2018 de 9h30 à 11 h30

L'enquête publique est également consultable en ligne en cliquant sur la vignette ci-dessous :

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rehablitation

Les rédacteurs du RL à Metz avaient fait disparaître le nom du Saulnois de la Une de la nouvelle formule du quotidien régional. Une mesure qui avait choqué dans notre région qui n'avait pas besoin de ça en ce moment !

Le mépris avec lequel certaines collectivités, certaines administrations traitent notre territoire est déjà bien compliqué à supporter alors si notre journal local s'y met aussi. 

Mais alléluia aujourd'hui, il semble qu'il s'agissait en fait, comme nous l'a précisé le journaliste de l'agence de Château-Salins, d'une erreur qui a été rectifiée.

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