Le service national d'accueil téléphonique pour l'enfance en danger, accessible par le 119, a été créé par la loi de juillet 1989 relative à la prévention et la protection de smineurs.
Ce service est destiné à accueillir et à traiter les appels d'enfants ou d'adolescents en danger ou en risque de l'être et de toute personne confrontée ou ayant connaissance de situation de mineur dont la santé , la sécurité, la moramité, les conditions d'éducation ou de développement sont compromis ou risquent de l'être.
Ce service est accessible 24h sur 24, gratuitement (même depuis un téléphone mobile). L'appel n'apparaît pas sur la facture détaillée de téléphone et la confidentialité est garantie.
Un jour avant leurs élèves, les 54 directeurs et directrices des écoles du Saulnois étaient réunis dans la salle polyvalente La Passepierre à Château-Salins.
L'équipe de circonscription composée des inspecteurs Frédéric Bonard et Jean-Michel Mérillou, les conseillers pédagogiques Christine Maggi et Bernard Renaudin, le conseiller pour les nouvelles technologies Fabrice Gandar, les enseignantes-référentes Véronique Faccin et Patricia Lingenheld et la secrétaire Christel Rémy ont évoqué avec les chefs d'établissement l'organisation de l'année scolaire 2015/2016.
La mise en place des nouveaux programmes à l'école maternelle constitue la principale nouveauté d'une année qui verra également se mettre en oeuvre le PEDT (Projet Educatif Territorial) qui fixe le cadre de l'organisation des nouveaux rythmes scolaires. Une collaboration étroite entre les élus, les enseignants, les parents d'élèves et le monde associatif pour offrir aux enfants une scolarité riche et passionnante.
A l'issue de cette réunion, les directeurs sont retournés dans leurs écoles respectives pour informer leurs 120 collègues et adjoints avant d'accueillir dès demain les enfants pour la rentrée des classes !
Séduit par quelques clichés du Saulnois partagés sur la toile par cet internaute lecteur de Grain de sel, il était intéressant de découvrir le travail de ce photographe amateur qui parcourt les sentiers de randonnée pour immortaliser les trésors offerts par la nature.
Paysages, animaux, phénomènes naturels, Stéphane Corbeil, un Vicois âgé de 37 ans, est un véritable passionné. Une passion qu'il doit en grande partie à son père qu'il accompagnait enfant lorsque ce dernier partait à l'affût pour photographier les animaux.
Depuis sept ans, il traque donc à son tour avec un matériel de plus en plus perfectionné : du Canon EOS 10 D au Nikon D 90 jusqu'au Nikon D3 150/600 bien connu des spécialistes acheté au mois de juin pour réaliser des photos encore plus impressionnantes.
Pour Le Cliché, Stéphane est capable d'attendre des heures caché sous son filet de camouflage, l'appareil posé sur un trépied à tête pendulaire, l'arme absolue du photographe animalier.
Dans le milieu il a désormais un réseau de collègues avec qui il échange les bons "coins", les sites d'observations, les endroits imparables qui donneront les images que l'on peut voir sur sa page Facebook.
Il a également participé récemment à la biennale "Renc'Art" d'avril dernier.
Quelques exemples de photographies prises dans le Saulnois par Stéphane Corbeil dans le diaporama ci-dessous :
Retrouvez dans les vidéos ci-dessous l'intégralité de la conférence donnée ce vendredi 28 août, par Laurent Olivier, responsable de la quinzième campagne de fouilles archéologiques, à Marsal.
Un exposé d'une heure suivi par une cinquantaine de personnes dans lequel le spécialiste du monde celte, Conservateur en chef au musée des Antiquités nationales, dresse le bilan des recherches menées cette année sur le site du Pransieu à quelques mètres des remparts de Marsal.
Une campagne de fouilles très lucrative qui aura permis d'accroître nos connaissances sur les sauniers qui extrayaient le sel dans notre région il y 2600 ans.
Alors que les archéologues, pour leur dernière semaine de fouilles, nettoient, trient, classent les centaines d'objets découverts sur le site du Pransieu à Marsal, Bruno Wirtz, mathématicien, chercheur au CNRS, co-fondateur de la société Tellus Environnement, à Brest, scrute, avec son radar pénétrant, le sous sol de la petite cité du sel.
Sa drôle de machine raccordée à l'ordinateur enregistre, via un logicel, des mesures qui sont ensuites traitées selon les formules mathématiques inventées par Bruno Wirtz. (voir la première vidéo)
Il peut ensuite déterminer en trois dimensions les tailles et formes des objets enterrés et ce jusqu'à des profondeurs remarquables.
Il est ainsi en mesure de révéler l'existence d'une très grosse structure située sous le parvis de l'église et qui probablement trouve son prolongement sous la collégiale Saint-Léger.
En effet, Bruno Wirtz a découvert cette semaine cinq gradins circulaires formant des cercles concentriques dont la base située à 6 mètres de profondeur environ mesure 18 mètres de diamètre. (voir la deuxième vidéo)
Les prises de mesures se poursuivent à l'intérieur de l'église pour en savoir plus sur cet élément qui pourrait avoir été un temple romain selon les premières hypothèses avancées par notre chercheur.
D'autres informations seront données lors de la conférence de fin de session, le vendredi 28 août, à 18h, au musée du sel.
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