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A l'occasion de la fête Art O Cours des Sens 2016, les badauds ont pu découvrir le nouvel habillage de la cabine téléphonique d'Haraucourt sur Seille. Transformé en chalet bucolique l'espace réserve d'autres surprises aux curieux qui pousseront ses portes.

Une belle initiative qui donnera peut-être des idées aux autres communes d'aménager ces endroits où autrefois on faisait la queue. A l'époque des smartphones hyperconnectés nos cabines antiques sont délaissées voire maltraitées.  

On attend donc avec impatience les futures transformations des cabines du Saulnois ! 

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Le « canon de Hampont », souvent appelé le « Gros Max », est une très grosse pièce d’artillerie de la marine allemande, mise en place pour un emploi terrestre, entre Hampont et Château-Salins au cours de la Première Guerre Mondiale. 

A plusieurs reprises sur Grain de sel, nous avons évoqué ce canon qui soulève de nombreuses interrogations tant il est méconnu dans le Saulnois. L'association MLV a publié de nombreux documents sur cette arme de destruction massive qui terrorisa la région nancéienne et Roger Richard, Président des Amis du Saulnois a organisé de nombreuses sorties sur le site pour apercevoir les vestiges de l'arme.

A l'occasion du centenaire de son installation dans le Saulnois, d'autres spécialistes se sont penchés sur le Gros Max pour livrer aujourd'hui un livre important de cent pages richement illustré (150 images)  publié aux Editions Gérard Klopp. Vendu au tarif de 24 €, il devrait séduire de nombreux habitants de la région : canonhampont

À partir du 1er janvier 1916 et jusqu’au début de 1917, ce super canon de 260 tonnes exécute, par-dessus le front, des bombardements sur trois agglomérations de Meurthe-et-Moselle : Nancy, Dombasle-sur-Meurthe et Lunéville. Servi par des canonniers marins, il crache, à une trentaine de kilomètres, environ 150 énormes obus qui occasionnent des dégâts et provoquent des victimes.

Cent ans plus tard, il ne reste rien de cette pièce. Sur son site subsistent des vestiges ; son activité et ses conséquences ont laissé des traces dans les archives, et son souvenir s’est transmis, de manière fragmentaire, dans la mémoire des habitants des localités concernées par sa présence et ses tirs. Pourtant, ce « Gros Max » semble méconnu du grand public, et c’est pour faire mieux connaître cet épisode de la Grande Guerre que ce livre a été rédigé.

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L’ouvrage ne se limite pas à décrire le « Gros Max » lui-même : un tube de marine, sur un affût fixé sur une plate-forme, et ses tirs. Il passe en revue tout ce qui, dans ce matériel, constitue une « démesure » par rapport à son importance dans l’Histoire : d’une part ses dimensions, ses performances, son environnement spécifique, ses soutiens et sa logistique ; d’autre part sa place dans les préoccupations des autorités militaires et civiles françaises. Il explique notamment les raisons de l’emploi d’une telle pièce et cherche à découvrir pourquoi le haut commandement allemand a interrompu son activité.

La diversité des aspects abordés et la richesse de l’iconographie résultent de la collaboration des auteurs, qui ont mis en commun leurs connaissances et leurs fonds.

Quand la marine impériale bombardait Nancy

Auteurs : Jean-Claude Laparra, Christian Pautrot, Arsène Felten, Patrice Loiseleau-Ramos, Eugène Nabunsky

Editeur : Gérard Klopp

tarif : 24 €

Pour commander cliquez ici

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Comme chaque année, depuis quatre ans, au début du mois d'octobre, Haraucourt sur Seille recevait. Granges, usoirs et jardins ouverts, espaces publics décorés au couleurs de l'automne et des dizaines d'exposants branchés "nature" y attendaient les visiteurs ce dimanche. 

Les températures...automnales, les averses de saison en ont peut-être découragé certains mais le succès était encore au rendez-vous si l'on en juge par la satisfaction des visiteurs et la belle atmosphère qui régnait tout au long de la journée dans les allées et sur les stands de cette fête baptisée poétiquement "Art O Cours des Sens".fetenature16c

Lors de leur déambulation les promeneurs ont pu découvrir et apprécier des produits aussi variés que : bijoux, sacs, tissus, vêtements, meubles, objets de déco, objets en bois, nichoirs, livres d'histoire, livres reliés, mais aussi charcuterie, légumes, confitures, miel, pain, gâteaux, bière, oeufs et bien sûr fleurs, plantes et graines de toutes sortes. 

Les Tongs, groupe de rock local, allaient de stand en stand pour pousser la chansonnette, les poneys du centre équestre d'Oriocourt baladaient les bambins dans le village qui avaient un bel espace de jeu pour se divertir pendant que les parents parcouraient les rues de la petite cité. 

Partenaire de la manifestation, la Communauté de communes du Saulnois était là aussi. Les ambassadeurs de tri informaient sur le compostage et son programme de réduction des déchets aidés par les guides composteurs bénévoles.  

Enfin, la petite visite au bateau oublié au bout du village apportait la touche onirique à la balade haraucourtoise.

Diaporama  et vidéo :

 

 

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C'est sans conteste la plus belle prise de l'année ! Un pêcheur a capturé le poisson qui narguait les automobilistes depuis plusieurs années sur le grand rond-point de Moyenvic.

Un internaute qui passait par là a immortalisé la scène pour les lecteurs de Grain de sel. 

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Le Département de la Moselle le présente comme une pépite à citer en exemple. Sa notoriété dépasse depuis longtemps les frontières de notre région, Gille Somme ouvre les portes de son entreprise artisanale le week-end des 14 et 15 octobre dans le cadre des Journées des savoir-faire d’excellence Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV) :

 A l’occasion des 10 ans du label d’Etat EPV, l’entreprise Escaliers SOMME, détentrice de cette distinction récompensant des entreprises françaises d’exception, sera ouverte au public pour des visites exceptionnelles le vendredi 14 octobre 2016 de 9h00 à 12h00 et de 13h30 à 17h00, et samedi 15 octobre de 09h00 à 12h00 et de 13h30 à 17h00.

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Escaliers SOMME est une entreprise aux savoir-faire uniques et on l'a vu à plusieurs reprises sur Grain de sel. On se rappelle de notre visite au cours de laquelle Gilles Somme nous présentait l'escalier connecté il y a deux ans et plus récemment l'installation du manège à chevaux reconstitué sur le site des anciennes salines Royales de Dieuze.

epvTout au long des journées du 14 et 15 octobre, le public pourra visiter, découvrir les ateliers en production ainsi que la salle d’exposition.

Des visites guidées seront organisées, par groupe.

Ces journées de découverte ont notamment pour objectif de :

• susciter des vocations, présenter les possibilités de formation et d’apprentissages et découvrir des métiers de passion ;

• promouvoir les entreprises d’exception EPV auprès du grand public ;

• valoriser l’identité des territoires à travers la découverte de la culture économique.

Elles constituent l’opportunité pour le public (jeunes, grands publics, institutionnels, médias, etc.) de redécouvrir son territoire d’une manière originale, en visitant les ateliers et usines de production, et en allant à la rencontre des hommes et des femmes d’excellence des Entreprises du Patrimoine Vivant.  UN label d’Etat EPV qui récompense des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux et industriels d’excellence, qui se caractérisent par une histoire et un patrimoine parfois séculaires, des capacités d’innovation et des savoir-faire rares qui ont contribué à asseoir leur notoriété dans le tissu entrepreneurial français.somme2

Depuis sa mise en place en 2006, le label EPV regroupe plus de 1 300 entreprises d’exception.

Escaliers Somme, Zone d'activités de Dieuze, 11 rue Roger Husson, 5720 Dieuze. Tél : 03 87 01 58 57 

Voir le site Internet des Escaliers Somme