Terminés les déplacements à Sarrebourg, Nancy ou Metz pour acheter le parfum ou les crèmes de soin de sa marque préférée ! Depuis cette semaine, à Dieuze, on peut aller chercher son flacon chez Economiz, 6 avenue du Général De Gaulle. De l'inédit dans le Saulnois pour ce service qui devrait connaître un gros succès commercial en raison notamment des tarifs qui sont inférieurs de 25 % à ceux de vos magasins habituels.
Pour commander son parfum, vous pouvez passer directement chez Economiz, la société d'achats groupés dieuzoise, où des testeurs sont à disposition. Quelques jours après vous récupérez votre commande avec les échantillons.
Toutes les marques (à l'exception des produits Chanel) sont disponibles : Georgio Armani, Azzaro, Dior, Hugo Boss, Burberry, Bulgari, Cacharel, Chantal Thomas, Dolce Gabana, Diesel, Givenchy, Gucci, Jean-Paul Gautier, Kenzo, Lancôme, Lolita Lempicka, Mauboussin, Nina Ricci, Paco Rabanne, Reminiscence, Rochas Paris, Thiery Mugler, Yves Saint-Laurent..
Côté produits soins et beauté : Clarins Paris, Lancôme Paris, Dior, Payot Paris....
Tarifs et liste complète des produits sur le site internet ou sur la page Facebook
Voir aussi l'article paru sur l'entreprise Economiz sur Grain de sel il y a quelques semaines
Plus de quatre-vingts spectateurs ont assisté à la représentation donnée par la troupe de comédiens adulte du Foyer Rural Georges de La Tour de Vic sur Seille hier soir à Xanrey ! Et comme à chaque fois, c'est un tonnerre d'appaudissements qui aura accompagné la sortie de ces artistes amateurs ravis d'une telle reconnaissance !
Un succès mérité pour cette bande de copains, qui, pour certains, n'avaient jamais interprété un personnage devant un public. Une véritable performance pour l'auteur et metteur en scène fabien Bondil, pour les comédiens qui, en quatre dates seulement, sur un territoire restreint (Vic-sur-Seille, Marsal et Xanrey) ont réuni plus de 400 spectateurs conquis.
Fabien Bondil et l'ensemble de sa troupe remercient tous ceux qui sont venus les applaudir et prennent rendez-vous avec un nouveau public dès le 23 avril à Bénestroff pour une nouvelle représentation des Fourmis !
De gauche à droite sur la photo :
Les élèves du Saulnois reprennent le chemin de l'école et des ....cantines.
De nombreux accueils périscolaires du Saulnois (Bezange, Chambrey, Marsal, Delme, Val de Bride, Francaltroff, Vic, Hampont), les cinq multi-accueils de la CCS (Vic, Francaltroff, Dieuze, Château-Salins, Delme) commandent les repas des enfants à l'entreprise de restauration collective API.
Les repas pour les crèches sont fabriqués à la cuisine centrale située sur la zone d'activités communautaire de Delme. Ceux des périscolaires sont cuisinés à Malzéville.
Régulièrement API glisse un menu local ou un menu bio dans les assiettes des bambins.
Pour découvrir ce que mangeront vos enfants pour cette période allant du 22 février au 1er avril, cliquez sur la vignette ci-dessous :
Alors qu'on digère à peine la création de la nouvelle grande région, une date symbolique va nous rappeler qu'il y a 250 ans, le 23 février 1766, la Lorraine devenait française. Après un incroyable arrangement politique scellé trente et un ans plus tôt, le Duché de Lorraine tombait dans l'escarcelle de Louis XV, roi de France, à la mort de son dirigeant Stanislas Leszczynski.
Roi de Pologne en 1704, chassé de son trône en 1710, Stanislas vit en exil à Zweibrücken, puis à Wissembourg hébergé par le Roi de Suède, le Duc de Lorraine et le Roi de France.
Mais un incroyable rebondissement allait relancer la carrière de ce personnage étonnant ! En France, on cherchait à fiancer le roi Louis XV avec une femme qui pourrait rapidement lui faire un enfant ! En effet, la santé fragile du jeune monarque (il avait alors 13 ans) inquiétait son premier ministre qui sortit de son chapeau celle que lui même convoitait...la fille de l'ancien Roi de Pologne, Marie Leszczynska.
Le 15 août 1725, le mariage fut célébré par procuration à Strasbourg. Stanislas, désormais beau-père du roi de France, s'établit alors au château de Chambord où il resta jusqu'en 1733.
Cette année-là, une crise de succession dans son pays natal le fit revenir aux affaires le 12 septembre 1733. Mais pour un mois seulement car sa nomination n'était pas du goût de tous. Un autre roi de Pologne est nommé en octobre sous la protection des Russes. Par le jeu des alliances, une guerre éclata même entre les grandes puissances européennes : la Russie du Tsar Pierre 1er, l'Empire des Habsbourg de Charles VI, la France de Louis XV, l'Espagne de Charles 1er.
La guerre s'achève par le traité de Vienne qui sera ratifié en 1738 et par lequel Stanislas renonce au trône de Pologne mais obtient les Duchés de Lorraine et de Bar. Le Duc de Lorraine en place, François III est contraint de quitter Nancy et son palais ducal. Il devient Grand Duc de Toscane puis, en 1745, Empereur Romain Germanique.
Stanislas arrive à Meudon où il signe avec Louis XV une déclaration secrète par laquelle il s'engage à ne pas.....gouverner son nouveau territoire ! En effet, c'est un chancelier, choisi par Louis XV, Chaumont de la Galaizières qui tiendra les rênes de la Lorraine sous tutelle française.
Pour ce renoncement, Stanislas reçoit annuellement 2 millions de livres.
Son règne fut bien évidemment marqué par les nombreux travaux qu'il entreprit au coeur de la cité ducale à Nancy : la Place Royale pour rendre hommage à son gendre Louis XV ( devenue depuis Place Stanislas), la longue place Carrière, la place d'Alliance....Il installe plusieurs résidences royales à Commercy, Einville, Jolivet et La Malgrange et fait transformer le château de Lunéville.
Il crée la bibliothèque Royale de Nancy (l'actuelle bibliothèque municipale), la Société Royale des Sciences et Belles Lettres devenue Académie de Nancy. Il fait construire aussi l'église de Bonsecours sur un lieu emblématique pour les Lorrains : le champ de bataille qui vit le triomphe du Duc de Lorraine René II sur le Duc de Bourgogne Charles le Téméraire en 1477.
A 88 ans, il meurt à Lunéville mais il est enterré à l'église de Bonsecours à Nancy. Ce 23 février 1766, la Lorraine devient française.
Deux photographes amateurs vicois, intéressés par l'histoire locale, proposent sur la toile de suivre l'évolution de la déconstruction de l'usine de fauteuils et canapés qui faisait autrefois la fierté de la cité des Evêques.
Au début sur Facebook, l'information est plus complète désormais sur un site Internet dédié. Ce nouvel espace regorge de petits trésors qui ravivront bien des souvenirs chez les anciens salariés et les clients des établissements EFKA. (catalogues, plans, objets, photos de groupe ou d'ateliers....)
Visitez le site en cliquant sur la vignette ci-dessous :
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