Du 16 au 26 février, trois mille étudiants participeront à une aventure sportive et humaine exceptionnelle : le 4L Trophy, un raid de six mille kilomètres à bord de la mythique Renault 4 qui mènera les participants de Biarritz à Marrakech en passant par Madrid, Algeciras, Fès, Midelt, Erfoud, Zagora et Ouarzazat.

Par équipe de deux, munis d'une carte Michelin et d'une boussole les jeunes pilotes vont devoir rejoindre les villes étapes en parcourant le moins de kilomètres possible. Un challenge sportif original doublé d'une mission humanitaire avec des dons en nourriture, vêtements et matériel scolaire dans les villes et villages traversés.

Parmi les concurrents de l'édition 2017 de cette course automobile qui fête ses vingt ans d'existence, un habitant d'Amelécourt, Thibaud Robinet et son coéquipier nancéien Matthieu Pierré.

Agés de vingt ans également, étudiants en DUT Génie Mécanique et Productique de Metz, ils ont eu l'idée de cette participation avec quelques copains au sein de leur établissement. 

Le projet s'est concrétisé lorsque le véhicule a été trouvé. Un 4L, modèle 1987, acheté en Alsace 1600 € qu'il a fallu retaper. Au garage Perrin de Malaucourt d'abord pour les gros travaux, puis à l'atelier de la ferme familiale à Amelécourt  avec l'aide de nombreux copains mécaniciens : Denis, Olivier, Laurent, Roland, Kévin, Richard et Nico.

Des conseils, ils en ont également trouvés sur Internet auprès du groupe de discussion du 4L Trophy où les participants échangent trucs et astuces avant le grand départ.

Pour boucler le budget d'une telle entreprise (6500 €), Thibaud et Matthieu ont été aidés par leurs parents mais également par des sponsors  : OA Consult, Groupama, Hexagrain, Sécuritest, Ackerman, le garage Perrin, le Lions Club qui ont versé leur obole sous forme de dons financiers ou de prestations offertes.  

A quelques heures du départ prévu mardi matin, les jeunes pilotes sont impatients de se lancer sur les routes de France d'abord pour rejoindre le village départ à Biarritz. Puis ils traverseront l'Espagne pour embarquer à Algeciras à l'entrée du Détroit de Gibraltar direction le Maroc. La course commencera véritablement là. 

 Une journée type sur le 4L Trophy (extrait du site officiel de la course)

Le matin :  Après un petit déjeuner typiquement marocain, chaque équipage, road book et boussole en main, se présente au Contrôle de Passage (CP) de départ à l’heure prévue, passage obligatoire pour démarrer une journée.

Puis, c’est le départ des 4L pour une journée de pistes. Au programme : pistes désertiques, dunes, bacs à sable, paysages à couper le souffle, orientation à la boussole et quelquefois ensablement ! Le déjeuner est libre. Bien souvent les équipages s’arrêtent en plein désert pour partager des piques niques dignes, pour certains, des plus grands festins ! Attention à ne pas s’arrêter trop longtemps de manière à arriver au le bivouac avant la tombée de la nuit.

Le soir, chaque 4L passe par le CP pour valider son arrivée au bivouac et se faire relever le compteur kilométrique. Selon l’heure d’arrivée des équipages et de la fatigue de la journée, chacun est libre d’organiser sa soirée. Après un diner marocain, certains se sentiront attirés par le bruit des tamtams, les mélodies des guitares et le crépitement des feux de camp. Les autres, préfèreront se reposer. Les plus malchanceux, quant à eux passeront une bonne partie de leur soirée au pôle mécanique les mains dans le cambouis…C’est ça aussi l’Aventure ! La pause commune à tous intervient généralement vers 20h pour le briefing journalier et le visionnage du JT, résumé de l’étape sur grand écran. Le tout, en plein désert, au milieu de nulle part !

Vous pourrez suivre l'aventure de notre équipage du Saulnois sur TF1 et RMC qui feront des points réguliers de la course mais également sur le site officiel du 4L Trophy et sur la page Facebook créée par Thibaud et Matthieu sur laquelle ils posteront quotidiennement photos et impressions. 

Alors qu'au même moment, sur une chaine de télévision du service public une extrêmiste de droite, qui pourrait paraît-il, devenir présidente de notre République en mai prochain, distillait ses idées nauséabondes et venimeuses, on entendait à Marsal ce jeudi 9 février le récit du parcours sublime d'un des plus illustres hommes de notre pays : Henri Grégoire, curé de campagne dans le Saulnois, à Château-Salins et Marimont les Bénestroff, devenu acteur majeur de la Révolution française et dont le corps repose au Panthéon, à Paris. 

A l'opposé des thèses les plus abjectes qui n'étonnaient guère il y a trois siècles et qui retrouvent régulièrement dans notre histoire contemporaine une certaine vigueur,  l'Abbé Grégoire a toute sa vie lutté contre le racisme, l'antisémitisme, l'esclavage, la peine de mort, l'injustice. Farouche défenseur du droit des femmes, soutien aux agriculteurs, fondateur du Conservatoire des Arts et métiers et promoteur des sciences, Henri Grégoire est le plus bel exemple d'oecuménisme et d'humanité.

C'est ce que Michel Rémillon aura pendant plus d'une heure expliqué aux cinquante personnes qui avaient répondu à l'invitation des associations Chemins Faisant et des Amis du Musée du sel. 

Une conférence à retrouver dans son intégralité dans les trois vidéos ci-dessous :

La brasserie du Saulnois artisanale et biologique Malacuria d'Alexis Jacquemin poursuit son développement.

Devant le succès des quatre premières bières produites et vendues dans toute la Lorraine, une blonde, une blanche, une ambrée et l'Indian Pale, le jeune brasseur a décidé d'innover en proposant une cuvée en série limitée nommée : Fût de chêne.

Il s'agit en fait d'une bière blonde vieillie six mois dans des barriques ayant contenu du vin. 

A découvrir directement à la brasserie à Malaucourt, le samedi matin de 9h30 à 13h,  mais également à l'Inventerre du Pré Vert, épicerie bio de Dieuze, à partir de samedi 11 février. 

Un centre de loisirs au château les Armoises est organisé pour les enfants de 3 à 12ans du 13 au 17 février.

Camy Poirson, directeur, présent pendant les temps périscolaires au château, et Anne Poinsignon, animatrice, encadreront les enfants.

Au programme, les jeunes participants pourront s’approprier les espaces du château autour de la thématique du jeu, dans la suite de ce qui avait été réalisé l’année dernière.

Du jeu de plateau aux jeux en extérieur, en passant par le jeu de rôle, les enfants pourront découvrir ou redécouvrir ces pratiques ludiques et collectives.

Le premier jour, lundi 13 février, le groupe d’enfants prendra possession du château, qui sera non plus le périscolaire, mais le lieu du festival du jeu pendant toute une semaine. Le deuxième jour, les enfants partiront à l’aventure dans le parc du château.

Mercredi, ils découvriront la recette des crêpes avec la cuisinière de la cantine, Céline Toussaint, et apprendront également à fabriquer un molkky.

Jeudi, c’est la présence d’une malle à jeux, suivie d’activités manuelles qui animeront la journée.

Pour clôturer la semaine, les enfants pourront faire des gâteaux pour le pot de fin d’accueil.

Une remise de médailles départagera les joueurs de la semaine.

Par ailleurs, pour conclure la semaine jeu, le vendredi 17 février à partir de 16 h 30, les familles et les amis seront invités à partager un moment autour d’un plateau de jeux et d’un goûter partagé avec les enfants.

Il est à noter que l’accueil du matin s’effectuera par l’entrée de la cour des maternelles, entre 8h et 9h30 et que l’accueil du soir aura lieu entre 17 h et 18 h.

La date limite des inscriptions est fixée au mardi 7 février.

Renseignements : 03 87 01 43 95