L’INRA de Mirecourt, qui mène une étude sur les systèmes alimentaires localisés et la préservation de l’eau à l'échelle du bassin versant de la Seille, est reçu dans la salle socio-culturelle de Moyenvic, le 16 février 2017 à 20h pour un débat d’idées sur les manières de raconter et de faire le Saulnois aujourd’hui.
Tous les acteurs du territoire (élus locaux, agriculteurs et paysans, associations locales, organisations étatiques, citoyens, etc.) sont invités à participer autour des premiers résultats de l’enquête menée depuis novembre 2016.
Pour plus de renseignements : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. / 06 32 92 45 84
Commentaires
OUi Cricri, j'avais saisi après coup...
C'était une blague qui n'engage que moi à propos de certains membres de la profession.
Avec les autres explications que j'ai eu et mes intuitions, voici une petite synthèse :
1. Il n'y a rien de religieux ni de rapport avec une croix de Lorraine où il manquerait un bâton !
2. ça permet de tendre les fils des clôtures
3. je me demandais pourquoi les bâtons toutefois restés ainsi en place (et n'étaient pas restés en bout de clôtures) - et ressemblaient à des "croix" : on m'a dit que ça permettait de pouvoir intervenir à tout moment pour retendre : avec un bâton planté dans le sol et l'autre qui assure la mobilité d'enroulage.
5. Cette technique s'est arrêté dans les années 50 (?) et que désormais les tracteurs ont remplacé cette technique de "tendeur dit en croix"
4. Par contre Cricri : votre intervention m'interpelle sur les subventions ! Avez-vous d'avantage d'explications ?
5. Autre question : on peut en voir ailleurs dans le Saulnois?
En tout cas : merci !
Citation en provenance du commentaire précédent de Tiffany :
C'est juste un moyen pour tendre les fils barbelés ;).
Est-ce que quelqu'un connait la raison de ce type de "croix" pour clôturer par hasard?
S’abonner au flux RSS pour les commentaires de cet article.