Grain de sel n'a pas vocation à traiter les faits divers mais il faut bien avouer que l'épisode qui s'est déroulé hier dans le petit village de Juvelize interpelle et en dit long sur les us et coutumes de quelques énergumènes en tracteurs excités par les haies et arbres de toutes espèces.
Etonné par les bruits des pelles mécaniques, engins télescopiques et bruits de tronçonneuses, le correspondant du RL, webmaster du site du village Juvelize.com, s'est approché des hommes qui arrachaient une haie et quatre noyers sur la parcelle communale proche de son habitation.
Mais sa curiosité n'a pas dû plaire aux bûcherons de fortune qui ont alors sorti injures, menaces et gros bras pour intimider l'administré.
On vous laisse découvrir le récit fait par notre confrère sur le site Juvelize.com.
Commentaires
En effet, ces hommes blancs chevauchant 200 chevaux rouge vrombissants et s'armant d'une hache tonitruante ...n'ont plus aucun respect pour la Nature
Ils sont totalement déconnectés de la terre.
"Le grand chef du village de Juvelize" doit se montrer plus ferme envers ces hommes blancs malades sous leur scalp....
Moi grand chef indien, je leur interdirai la fourche télescopique et la hache à moteur ....pour qu'ils réapprennent à se servir de leurs muscles et de leurs têtes. Et s'ils doivent replanter une haie et des arbres, qu'ils le fassent "Pieds nus et Mains nues" sur la terre sacré.
Les faire replanter eux mêmes? Des pousses barbotées en forêt?
C'est une punition pour un gamin de 7 ans ça!
Pas loin de chez moi, il y a peu, un type a eu les gendarmes parce qu'il brûlait gentiment qq branches mortes au fond de son jardin. (d'accord, d'accord, il l'a bien cherché.. ce n'était pas un paysan!!)
L'article ne parle pas de l'arrachage de la haie .
Et bien, ce n'est pas cher payé pour une telle infraction!
Juvelize se situe dans le Parc Naturel Régional de Lorraine et que son captage est soumis au Grenelle de l'environnement ...mais bon, cela, tout le monde s'en contre-fiche !!!!!
"Nous savons que l'homme blanc ne comprend pas nos moeurs. Une parcelle de terre ressemble pour lui à la suivante, car c'est un étranger qui arrive dans la nuit et prend à la terre ce dont il a besoin. La terre n'est pas son frère, mais son ennemi, et lorsqu'il l'a conquise, il va plus loin. Il abandonne la tombe de ses aïeux, et cela ne le tracasse pas. Il enlève la terre à ses enfants et cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l'oubli. Il traite sa mère, la terre, et son frère, le ciel, comme des choses à acheter, piller, vendre comme les moutons ou les perles brillantes. Son appétit dévorera la terre et ne laissera derrière lui qu'un désert."
Amitiés Jean François.
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