Les difficultés des maires ruraux sont depuis quelques mois au centre de l'actualité. Nos édiles se plaignent régulièrement dans les médias du manque de soutien de l'Etat et des budgets qui se réduisent comme peau de chagrin.
L'interview accordée par le maire de Marsal au journaliste du Républicain Lorrain parue dans l'édition locale de ce jeudi 21 février apporte ici un autre son de cloche. C'est l'Etat en effet qui vient au secours du patrimoine marsalais et plus précisément des deux casernes Vauban que le Conseil Départemental de la Moselle, propriétaire des lieux, souhaitait abattre.
L'interview de Bernard Calcatéra, premier magistrat marsalais en cliquant sur la vignette ci-dessous :
Commentaires
Mais pourquoi ne pas utiliser l'espace disponible dans ces vieux murs pour faire une salle de prière ou une mosquée ?
Comme çà, après les cloches en furie se sera le muezzin infernal du matin au soir dans le village et en passant par la nuit !!! vive la laïcité républicaine.
Ironie déplacée... on aurait pu dire la même chose de l'hôpital il y a 30 ans. Heureusement qu'il y avait des gens constructifs pour imaginer l'avenir du bâtiment...
Je ne me souviens plus d'avoir fait construire ces 4 casernes ou, du moins, difficile pour moi aujourd'hui de les reconnaître car il ne reste plus grand chose de "VAUBAN" dans ces vieux murs...
Depuis le XVIIème siècle, les "pillages" successifs, les aménagements "sauvages" et les destructions savamment organisées les ont préparé à leur prochaine transformation en tas de gravats... à moins, peut-être, d'en faire demain le nouveau "Musée du Méthane". Pourquoi pas ?
Cà aurait quand même de la gueule une belle torchère de méthane bio au dessus de la Porte de FRANCE... et il ne resterait plus qu'à jumeler le village avec FEYZIN !
Où est le rapport ? La culture et l'agriculture peuvent faire bon ménage, tout est question de projets (d'un côté comme de l'autre...). Et pour ce qui est de l'histoire, c'est très bien de ne pas la jeter aux oubliettes, elle nous donne parfois de bonnes leçons.
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