En 1789, dans toute la France, on rédigeait des cahiers de doléances pour rapporter au Roi les dysfonctionnements dans le pays.
Deux cent trente ans plus tard de nouveaux cahiers de doléances sont ouverts dans les mairies de France, à l'initiative d'associations d'élus locaux, pour coucher sur le papier les revendications de citoyens en colère qui portent depuis quelques semaines des gilets jaunes.
On ne sait pas si le pouvoir lira ces documents mais ils seront le témoignage à un instant "t" d'un mal être populaire évident et on l'espère une base de travail avant la grande consultation nationale de la mi-janvier organisée par le Gouvernement.
A Vic sur Seille, un cahier de doléances a été ouvert en mairie. Il est à la disposition des Vicois aux horaires d'ouverture de la Mairie :
Du lundi au jeudi : 9h00-12h00 / 15h00-18h00
le vendredi : 9h00-12h00 / 15h00-17h00
le samedi : 9h00-12h00
Commentaires
Disponible et serviable, Jean-Marie s'en est allé, après avoir lutté courageusement face à la maladie.
RETARD A L'ALLUMAGE:
On aurait également souhaiter voir, dans la presse, la Mairie de Vic-sur-Seille, ainsi que le conseil de fabrique, lui rendre un hommage bien mérité.Est-ce un oubli?Comment ne pas être au courant? Il n'est jamais trop tard pour bien faire, pour s'exprimer.
Que notre Abbé bien aimé repose en paix.
Quand irons-nous, par delà les grèves et les monts, saluer la naissance du travail nouveau, la sagesse nouvelle, la fuite des tyrans et des démons, la fin de la superstition, adorer - les premiers! - Noël sur la terre!
Découvreront-ils un jour qu'en mélangeant de l'eau chaude avec de l'eau froide on obtient de l'eau tiède?
Evitons de tomber dans ce piège, et gardons en ligne d'horizon l'intérêt général.
Le problème des retraites, peut être réglé, si on plafonne le montant de la retraite, si on permet aux gens qui le souhaitent de partir au moment où ils le souhaitent. Peut-être aussi si on reconnaît le travail non rénuméré, type associatif, et si on partage tout cela.
Si on a un gros salaire, on paye beaucoup de cotisations, et on a une grosse retraite. C'est comme les écarts de salaire, hors autres avantages, de 1 à 450, alors qu'il y a à peine quelques décennies , il était de 1 à 12.
Passé un certain seuil, ce n'est plus du besoin quotidien mais du besoin de l'oncle Picsou.
On en revient toujours au même, le partage des parts du gâteau
Voici celui, commune par commune du bailliage de Dieuze, à consulter sur le site de la Bibliothèque nationale de France
Cahiers du bailliage de Dieuze publié par Charles Etienne,
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k361725.texteImage
De la page 1 à la page 398
Doléances à comparer avec celles d'aujourd'hui. Peu de changement dans le fond. Les formes sont différentes.
Il ne faut pas oublier que la majorité des gens étaient paysans,
Espérons que chaque échelon consultera et fera preuve d'initiatives pour une effective démocratie participative pérenne !
Que l on arrête de vivre comme des arriérés sous l ancien régime.
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